
Jos. Deschênes
Un signe.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Le signe de ralliement du peuple chrétien est la croix portant un christ ressuscité, un Christ glorieux. Le temps du Christ ensanglanté et fouetté est passé, il a duré une journée. Le Christ glorieux dure depuis plus de 2000 ans et encore aujourd'hui Il est avec nous sur la route, Il nous enseigne la fidélité dans les difficultés et la joie de la résurrection.
Un signe.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Un signe.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Un signe.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Un signe.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Un signe.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Un signe.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Soyons créatifs. Luc 16, 1-13.
L'Évangile de notre dimanche semble un peu crontradictoire avec le message de Jésus. Il semble encourager la malhonnêteté. On dit que certains biblistes ont des maux de tête de vouloir comprendre ce texte. Essayons timidement d'en trouver la substantifique moêle.
Il me semble que ce texte est d'une grande actualité. Dans la situaiton d'Église que nous vivons aujourd'hui, les fils de la lumière se doivent d'être plus habile que les autres. Nos églises se vident et sont vouées à d'autres vocations, les chrétiens sont de plus en plus indifférents aux structures religieuses et celles-ci péréclitent. Pendant ce temps sur le terrain des oeuvres caritatives et des engagements se multiplient au service de la vie. Des gropuscules religieux voient le jour parce que les femmes et les hommes ont besoin de fraternité, de communion et ils essaient de rérpondre à ce besoin. Sur le terrain se vit beaucoup de créativité. les fils de ce monde sont-ils plus habiles entre eux que les fils de la lumière.
Ce texte est un vibrant appel à la conversion. Il ne s'agit pas d'une démarche particulière mais bien d'une attitude générale qui va inspirer des démarches en réponse aux aspiraitons du peuple chrétien. Le temps de confinement de la pandémie aurait été un moment bénéfique pour rercréer des attitudes neuves face à des besoins nouveaux. Les chrétiens autour de nous qui ont délaissé la pratique sacramentelle nous interpellent fortemant à de la créativité et à une gérance productive et ingénieuse de notre foi chrétienne. Nous risquons trop de rester enfermés dans nos structures ou ne de faire que de la chirurgie esthétique. Comment faire aujourd'hui que l'Évangile du Crist soit une Bonne Nouvelle dans notre monde? Notre monde a soif de lumière, de sens à la vie, serons-nous créateurs pour répondre à ces besoins?
Le temps de confinement avec la fermeture de nos églises auraient été favorable à développer le goût de la Parole par des petits rassemblements ou par internet. Les célébrations de funérailles sans eucharistie sont un moment intéressant pour développer d'autres façons de célébrer avec la Parole sans être pris dans le rite liturgique. L'engagement des gens auprès des pauvres, des malades et des sans voix, l'engagement des jeunes dans la lutte contre l'intimidation devrait inspirer notre engagement de foi. Est-ce que notre foi est assez essouflée pour ne plus être en mesure d'écouter et de répondre aux besoins spirituels des chrétiens d'ici? L'Évangile n'est pas seulement un texte que nous lisons à l'église, il est parole de vie sur le terrain de la vie. Il est appel à la conversion. Il est appel à vivre l'essentiel.
L'homme ne peut servir deux maitres. Aujourd'hui nous traduirions l'homme ne peut s'attacher aux structures d'hier et servir les besoins d'aujourd'hui. En s'attachant aux structures, les gens partent, nos églises se vident et un fossé se creuse entre les générations. Il nous est demandé une vraie conversion du coeur. Il ne s'agit pas d'ajouter ou changer des mots dans l'Eucharistie pour rasembler les chrétiens; Il faut un changement du coeur. Il ne s'agit pas de faire des rites mais d'animer la prière et la vie de foi des femmes et des hommes d'ici et d'aujourd'hui. Il ne s'agit plus de sortir des murs de l'église, mais aussi des façons de célébrer, des structures pour découvrir que nous sommes des envoyés dire au monde la beauté de la Bonne Nouvelle de l'Évangile. Nous sommes invités au rendez-vous de Dieu au coeur de nos vies, dans la Galilée de nos vies.
Un sacrement.
Hier j'ai mangé des carottes, des fèves jaunes et vertes, de la viande et des fruits, ces choses n'ont rien ajouté à mon identité, j'étais et je suis resté un homme avec le même nom, mais cette nourriture a ajoutéé des forces pour ma santé, elles m'ont donné des calories pour conserver ma santé. La nourriture me permet de mieux vivre ce que je suis.
C'est un peu ce que fait le sacrement. Ils n'ajoutent rien à mon identité: je suis toujours un être humain, enfant de Dieu, rempli de l'Esprit Saint. Le sacrement me donne des forces, des calories pour mieux vivre ce que je suis et bien réaliser la mission que le Christ m'a donnée. La rencontre du Christ dans le baptême me permet de mieux vivre ma vie d'enfant de Dieu à travers les vicissitudes de la vie. L'Eucharistie me permet de mieux vivre mon être de communion avec les autres et avec le Seigneur. Je vais célébrer parce que je suis enfant de Dieu, être de commuion, etc. .. et que cette rencontre du Christ me permet de mieux vivre ce que je suis. C'est ce que nous appelons la grâce dans la vision "chosifiée des sacrements"..
Dans un sacrement, il y a deux aspect: Un temps et un moment. Le temps est ma vie, le sacrement est d'abord une vie. Le moment est la célébration. Je vis le sacrement et je le célèbre en communauté. Je suis baptisé et je l'ai célébré tel jour et telle année. La pandémie nous a fait réaliser avec plus d'acuité encore que nous avons mis l'accent sur la célébration et perdu beaucoup de la dimension vie. Nous jugeons les chrétiens à partir de leur présence à la liturgie. Nous avons une Église sectionnée en deux: Une partie qui met l'accent sur le MOMENT, et l'autre sur le TEMPS. C'est ainsi que nous sommes parvenus à préparer les enfants aux sacrements et non à la vie par les sacrements. Nous avons là un grand sujet de réflexion pour quelques années.
Des leçons de la pandémie.
Nous venons de vivre un temps difficile pour tous, celui des confinements; nous avons beaucoup déploré la fermeture des églises, l'absence de messes et surtout que la réouverture ne s'est pas faite sur un plan d'égalité avec d'autres lieux de rassemblement. Mais il y a des leçons que ce temps nous oblige à méditer.
Mgr Grech de France nous fait voir que la pandémie a fait ressortir avec plus de rigeur la pauvreté spirituel du peuple chrétien. durant le confinement nous nous sommes plains de l'absence de messe et nous nous sommes garauchés dur les moyens virtuels pour reproduire la messe laissant de côté d'autres moyens de transmettre la foi. Ce qui a fait dire à de bons théologiens que l'Église était spécialisée en liturgie et devenue l'Église du temple. La fermeture des églises était un moment prophétique pour développer des approches d'évangélisation hors de l'église et par d'autres moyens que les sacrements . Nous les avons ratés en général. L'église bâtiment est devenu le lieu du service religieux comme tout autre service dans la communauté et trop souvent la vie chrétienne se résume à une présence à l'église.
Ce temps de confinement aurait permis la création de piste de formation chrétienne autour de la Parole de Dieu, préparer de nouvelles formules de célébrations plus vivantes et mieux adaptées à notre psychologie. Nous avons oublié, je pense, que l'homme de la rue, du quai, de la brasserie est aussi l'Église de Jésus christ , pas seulement l'homme dans l'église pour la messe. Quand les églises seront fermées par manque de ressources et de chrétiens qu'adviendra-t-il?
Ceci remet en question le rôle du prêtre dans la communauté. L'Église est un peuple en marche et comme prêtre je dois marcher au coeur de cette communauté pour l'accompagner sur la route et non plus être en avant pour lui dire quoi faire. L'Église aujourd'hui nous entraine sur un chemin de conversion. L'Évangile de Luc de dimanche prochain nous indique un chemin.
À la fin de la lecture de ce livre: L'Église autrement, je crois utile et profitable que des groupes de chrétiens s'arrêtent pour réfléchir et méditer certains témoignages enrichissants. J'aimerais aussi que nous écoutions le chrétien de la rue, du quotidien afin de savoir ce sont il a besoin.