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Jésus vient me questionner aujourd'hui en utilisant la parabole du semeur qui jette la semence en terre à tout venant. Cette parabole ne rappelle ma mère qui semait son jardin. Son premier souvi était de bien préparer sa terre. Elle mettait beaucoup de soin à bien connaitre le besoin d'engrais, la pauvreté se la terre, ce qu'elle puvait produire. Ceraines terre ne produisent telle graine. le soin de bien connaitre la terre était primordial  Si nous voulons que la semence de la Parole de Dieu porte du fruit aujourd'hui, il est essentiel de bien connaitre la terre dans laquelle nous allons semer. La paprabole du semeur vient questionner la qualité de ma terre et m'invite à l'améliorer. Il est intéressant de prendre conscience que Jésus s'adresse en parabole à la foule et fait de la catéchèse aux disciples. La semence est de fair edécouvrir la présence du Christ au coeur de la vie pour ensuite expliquer comment vivre cette réalité au quotidien. C'est le pourquoi d ela catéchèse.

La semence tombe d'abprd sur le chemin. Elletombe d'abord dans ces lieux passant, publique où nous sommes tellement occupés que personne n' a temps de s'arrêter pour lui permetttre de prendre racines et les oiseaux du ciel viennent picorer les grains, c'est-à0dire les milles pensées et distractions de la vie empêchent les grains de germer. C'est une invitation à nous arrêter un moment en silence pour permettre à la Parole de prendre racine dans nos vies.

Une autre partie de semence tombe sur un sol pierreux, c'est-à-dire dans une vie superficielle où rien de profond ne peut prendre racine. Ces moments aussi où notre enthousiasme es passagère, comme un feu de paille dirions-nous, et alors rien ne peut venir en profondeur.  Combien de texte de la Parole n'avons-nous pas entendus sans que cela traverse la dureté de notre rocher pour changer l'intérieur. Nous restons insensibles à l'invitation du Seigneur. 

Une autre partie de la semence tombe dans les épines, Que sont nos épines? Ce sont souvent nos soucis, nos préoccupations du lendemain, l'avoir ou le pouvoir, les blessures du passé peuvent aussi`avoir laiss des cicatrices et être un obstacle à la germination de la Parole de Dieu; tous ces problèmes  font obstacles à la semence. trop souvent nous entendons la Parole sans l'écouter et elle ne va pas plus loin que nos oreilles, elle ne peut transformer le coeur. Comme parfois nous sommes tellement pris par nos dévotions ou pratiques religieuses que la Parole n'a pas d'effet. 

Mais il y a aussi la bonne terre qui reçoit la Parole. Celle qui est bien engraissée, ouverte à toutes les possibilités, prêtes à donner du cent pour un. Une terre qui permet à la Parole de descendre au coeur et ne pas rester seulement au niveau des oreilles. Une terre qui a de la profondeur, de la richesse et de la beauté  intérieures. 

Cette parabole nous renvoie à la qualité de notre terre. Nous nous retrouvons tantôt dans l'une, tantôt dans l'autre de ces terres il est donc important de regarder la profondeur de notre terre pour y enlever les rochers ou les épines à l'occasion. Ceci nous pose aussi la question sur la nourriture ou la façon d'entretenir notre terre. Regardons les fruits d'amour, d'accueil, de pardon que nous produisons autour de nous et en nous. C'est aux fruits que nous reconnaissons la qualité de l'arbre.  

 CVette parabole nous invite aussi à regarder notre façon de juger les autres face à la vie chrétienne ou la pratique religieuse. Est-ce que nous semons a tout vent sans nous préoccuper de la qualité de la terre ou si nous sommes soucieux de bien connaitre la terre où nous semons pour y apporter la préparation nécessaire à une bonne germination. Aussi au lieu de juger la terre des autres autour de nous nous serons invités à une meilleure compréhension, un accueil plus chrétien et un accompagnement profitable. Les fruits seront notre récompense.

Aujourd'hui, Jésus rencontre un sourd-muet et le guérit. C'est moi que Jésus rencontre ce matin pour me dire: Ouvre-toi au monde qui t'entoure, sors de ta tour d'ivoire. 

Je suis invité à regarder ce qui me rend muet et sourd. De quoi ai-je peur pour éviter de comprendre le monde autour de moi. Combien de fois n'ai-je pas dit devant une situation difficile ou qui me dérange: "Je ne veux plus en entendre parler." je me réfugie dans mon mnde intérieure où je ne sens pas menacé.

Lève-toi, prends ta cicière et rentre chez toi. Il se leva et rentra dans sa maison. Qu'est-ce qui empêchait det homme de marcher et d'en trer chez-lui?  Voila la question dont nou sn'aurons jamais la réponse. Jésus est venu guérir ce qui empêche l'être humain d'être lui-même. Cet homme était sans doute paralysé par la peur ou des blessure vécue dans sa vie, Jésus lui redonne confinace en lui-même, le révèle à ses propres capacités ntérieures et lui permet de vivre.Combiend e fois n'avons-nous aussi aider quelqu'un à dépasser ses peurs pour reprnedre goût à la vie. Ce message s'adresse à moi ce matin: Vaincre mes peurs, guérir mes blessures pour avancer librement dans la vie. Tropsouvent nous modelons notre vie sur les opinions des gens autour de nous.

Jésus nous dit rentre chez toi, rentre dans ton intérieur pour trouver les forces et tes raisons de vire, cesse de suivre les opinions des gens autour de toi, aie confiance en toi et avance.

Je proclame ta louange, Seigneur du ciel et de la terre,  en ce que tu as caché aux sages, tu l.as réévélé aux tout-petits. Au point de départ de sa paorle, Jésus entame une ton d'action de grâce et de reconnaissance de ce que le Père réalise au milieu de nous. La qualité de relation avec le Seigneur ne vient pas de nos titres ou fonction mais de la qualité de notre relation avec Dieu et les autres. Et surtout, Jésus nous apprend à être des chrétiens d'action de grâce. Être constament dans cet état de louiange pour tout ce que nous découvrons et vivons de bon dans notre vie. Nous avons l'habitude d'être négatif et remplis de péchés: "Seigneur prends pitié."

 Venez à moi vous tous qui peinez sous le fardeau, mon fardeau est léger car je suis doux et humble de coeur. Notre fardeau pesant est souvent celui des lois, des obligations à respecter  qui briment notre liberté. Le fardeau de Jésus Christ est léger parce qu»'il nous rend libre. Le christ n'est pas quelqu'un qui impose des fardeau, mais qui accompagne, écoute, comprend et permet à chacune et chacun de grandir en liberté selon son être profnd.  En mode d'action de grâce c'est du=ire à Jésus: Merci de m'aider à porter mon fardeau, avec toi il deviendra léger.

Celui qui est le plus gand au yeux du Seigneur est celui qui vit le mieux possible sa relation d'enfant bien-aimé du Père.  L'enfant, le petit n'est pas exigeant et vit selon ses besoins et sa relation aux personnes est selon ce qu'il vit avec elles, la bonté, l'accueil, l'amour. Sa relatione est au niveau des personnes et de son vécu et non à partir de sa fonction, de ses droits. Le petit du royaume come l'enfant est plus ouvert à ce qui se vit autour de lui et devient plus sensible aux marques de reconnaissance et d'amour. Sa relation est davantage le fruit de l'expérience, donc plus vitale et moins de choses apprises d'une façin intellectuelle. C'est cela aussi évangéliser, c'est faire vivre une bonne excpérince du Christ.  L'évangélisation vient d'en dedans, qui monte du coeur et non de l'extérieur  qui entre par les oreilles.

Jésus nou senseigne deux attitudes importantes pour alléger notre fardeau. Non pas agir pour devenir important aux autres et leur plaire, mais pour devenir davanage soi-même et autonome, responsable de sa propre vie. L'autre moyen est la douceur et le courage de descendre en nous pour découvrir nos zones de liberté, pour découvrir nos propres soifs et accueillir le présnce divine en nous. Nous ne devonspas devenir victime des obligations et des commandements, mais apprendre à devenir libre à l'exemple de Jésus Christ.

Jésus nous invite aujourd'hui à être nous même et à réaliser qu ela personne est plus importante que le slois et obligations qui deviennent trop souvent un fardeau pénible à porter. notre. Notre Eucharistie est cette rencontre privilégiée avec le Christ  qui nous rend libre en communin=ant à son amour.

Anselm Grün: L'amour est le secret de la vie. Ed. Salvator. Ce petit livre nous retrace le chemin spirituel de l'amour comme centre de notre vie. Il nous fait voir la force de l'amour et nous révèle aussi que l'image que nous avons de Dieu en nous modifie souvent notre façon d'agir avec les autres autour de nous. Si nous avons l'image du Bon Pasteur ou d'un Dieu sévère, punitif  nou sle ferons passer dans nos relations. L'amour nous donnera une vraie image de cette vie divine en nous. bonne lecture. 

Saint Paul nous dit de beaux mots doux ce matin dans sa lettre aux Ephésiens. Il écrit: Vous n'êtes pas des étrangers, vous êtes membres de la famille de Dieu. Dans le Christ le temple de Dieu s'élève, Il est la tête, vous êtes les membres. Vous êtes la demeure de Dieu dans l'Esprit Saint. Voila grande réalité du peuple de Dieu, de l'Église. Nous sommes l'Église, le Corps vivant de Jésus. L'Églis en'est pas une démocratie dit-on, j'en suis, elle plus que cela, elle est une communion de personnes  unies dans l'amour par le Christ.

Au coeur de cette communion existe des envoyés, des pasteurs pour rassembler et servir spirituellement ce pei=uple de communiants. Dans ce corps vivant vivent des témoins qui inspirent et accompagnent les chré.tiens sur la route de la vie et de la communion. En cette fête de Thomas qui demanda à Jésus des signes de sa présence, apprenosn avec lui â reconnaitre la présence du ressuscité en nous et dans les autres autoru de nous. Je serai avec vous jusqu'à la fin des temps.

La liturgie nous fait célébrer aujourd'hui les deux P de la naissance de l'Église, Pierre et Paul. Deux piliers de l'Église naissance. Ils sont pour nous un exemple de conviction, d'audace et de foi dans un monde parfois hostile à une vision chrétienne de la société. Ils ont été les fidèles moteurs de l'évangélisation dans leur temps.

Paul fut un apôtres au coeur de berger. Un berger essaie de bien connaitre le monde dans lequel il vit afind emieux répondre à ses besoins. pour notre temps aujourd'hui Paul reste un modèle important pour inspirer notre mission. Il fut un témoin qui inspirait la vie tout en respectant la volonté et le cheminement des chacun et chacune. À l'exemple de Paul aujourd'hui nu devons faire découvrir la présence du Christ ressuscité et au coeur de nos vies. Le faire découvrir et non l'imposer.  Il ne s'agit pas d'imiter mais de nous inspirer de sa vie et de sa mission pour allimenter la nôtre. Notre monde a de plus en plus besoin de témoin et de modèle inspirant au coeur de berger. Un berger accompagne mais parfois il sait aussi dire non quand il mesure des conséquences négatives. Le berger a aussi un très grand amour pour l'Église peuple de Dieu qui a de plus en plus besoin de pasteur. Prions aujourd'hui pour que Paul suscite parmi nous des pasteurs selon le coeur de Dieu qui ont une foi profonde et communicative afin de rassembler la communauté en un seul corps le corps vivant de Jésus Christ. 

Jusqu'où pouvons-nous supporter les autres dans leurs différences. Voila une question importante par les temps  qui courent. Une grande difficulté dans notre accueil et de vie en comunauté et l'acceptation des différences. Au Paradis Terrestre lrosque Adam et Eve découvrirent qu'ils étaient diffrents, ils se firent des pagnes- des maques- pour se protéger. Les différences entre les peuples et les personnes a toujour sété sujet de discorde et de division. Jésus nous dit ce matin dans l'Évangile: Qui vous accueille m'accueille, et qui m'accueille acueille Celui qui m'a envoyé.

Jésus est venu rassembler une communauté de frères et de soeurs. Au coeur d'une communauté. vivante est l'accueil de l'autre avec toutes ses différences. Puique Jésus est présent chacun et chacune de nous, accueillir l'autre est donc aussi accueillir le Christ ressuscité. Qui vous accueille, m'accueille.  C'est ainsi que la question nous est posée par l'Évangile: Jusqu'où puis-je accpeter les différences des autres? Aujourd'hui nou saccueillons les émigrés, des gens venus d'autres culture, nations, d'autres couleurs, sommes-nous conscient des richesses que leur accueil  nous apporte?

Les apôtres qui sont partis annoncer Jésus Christ n'étaient-ils pas des étrtangers dans ces pays? Les prêtres, nous avons connus la difficulté d'adaptation dans un changement de paroisse.  M. Le curé  d'avant faisait pas cela comme câ. J'ai dû apprendre parfois ;a faire du patinage de fantaisie. Les différences sont à la fois une richesse comme un obstacle si nous ne savons pas bien les gérer. J'ai eu le bonheur d'accueillir, avec moi, un prêtre du Congo pendant un an, Il a vécu un apprentissage surtout à la température et moi une grande richesse au contact d'une autre culture.. À la suite j'ai accueilli deux jeunes vietnamiens, ce fut une autre école avec la langue. Mais ce fut une richesse qui nous conduit à d'autres façons de vivre, d'autres problèmes, d'autres cultures.

Le terme que nous traduisoons pas "accueillir" signidie également "recevoir en échange". Déjà lorsque nous accueillons quelqu'un nous sommes récompensés par ce qu'il peut nous apporter. Et parfois il a pour nou sune parole qui vient du Seigneur  et nous rend service. C'est ce que Jésus affirme aujourd'hui: Qui accueille un prophète en sa qualité de prophète, reçevra une récompnse de prophète. Il en est ainsi du juste. Un prophète est quelqu'un qui parle au nom de Dieu. tout chrétien qui a la foi peut à l'occasion être prophète.Dans une rencontre nous avons parfois des paroles qui surgissent en nous et nous ne savons pas toujours d'où vient l'inspiration. N'oublions pas qu enous  pouvons être prophète parfois sans en être conscient.

Les disciples d'Emmaüs ont accueilli quelqu'un sans le reconnaitre. S'ils avaient refusé l'accueil que serait-ils devenus? Combiend efois un étranger où un inconnu est intervenu dans ma vie pour m.apporter une parole constructive et à mon insu. Jésus a accueilli la femme accusée d'adultère; au lieu de sortir le code de lois pour la blâmer, il lui demande à boire.  C'est un exemple d'accueil qu enous devons méditer profondément aujourd'hui. N'oublions jamai sque la personne que nous accueillons est l'enfant bien-aimé du Père dans lequel Il a mis tout son amour. Ce pourquoi nous sommes fait, c'est vivre pelinement notre, nos valeurs sans juger les autres. C'est notre présence à l'Eucharistie qui est comme le ciment de nos relations humaines et chrétiennes.     

Quelqu'un em disait dernièerement que notre monde n'a plus de témoin. Les jeunes cherchent un modèle qu'ils ne trouvent pas.  la mission du chrétien est d'être témoin du ressuscité. Nous ne sommes pas des haut-parleurs, ni des magnétophones, mais des témoins et ce n'est pas facile de témoigner dans un monde ne perpétuel changement. Vous serez mes témoins jusqu'aux confins du monde nous a dit Jésus et je serai avec vous pour le vivre. 

Dans l'Évangile d'aujourd'hui, le Seigneur nous dit: N'ayez pas peur, témoigner de ce que vous croyez. Le témoin est d'abord quelqu'un qui a fait une expérience profonde en lui de la présence du Christ ressuscité. Sans cette expérience vraie, il risque d'être une cimbale retentissante, un simple haut-parleur. C'est dans un lent compagnonnage avec le Christ dans sa Parole et dans le quotidien que le témoin se prépare èa sa mission. Un témoin n'est pas un enseignant qui donne des connaissances, mais un accompagnateur qui fait découvrir une réalité en nous. Quelqu'un qui ouvre le coeur au ressuscité. le témoin n'est pas quelquù'un qui dit quoi faire, mais montre comment ÊTRE. C'est quelqu'un qui donne sens et goût a la vie.

Le témoin est quelqu'un qui laisse passer Jésus Christ. Quand je regarde les vitraux d'une église représentant un saint, la lumièere passe dans le vitral. C'est l'image du témoin qui laisse passer le Christ a travers son agir et son être. Nous sommes davantage préparé a laisser passer des doctrines, des façcon de faire et de croire et pas assez le Christ ressuscité.

Le témoin est quelqu'un qui donne du sens et du goût a la vie chrétienne et a la façcon de célébrer. Ce n'est pas  un maitre d'école qui enseigne mais quelqu'un qui présente un Autre par son agir. C'est un peu le modèele d'une Église tout terrain -quatre par quatre- qui est présente partout ou il y a de la vie. Ce que je vous dis présentez le dans la lumière. 

Le témoin doit aussi savoir écouter la parole autour de lui afin d'ajuster son témoignage selon les besoins du milieu. C'est quelqu'un qui propose sans imposer parce qu'il a fait une profonde expérience du Christ ressuscité qu,il laissepasser dans sa vie.  Comme témoin aujourd'hui que dirai-je aujourd'hui a quelqu'un qui me dit: Je ne crois pas a ce que tu crois. Ĉa te donne quoi d'aller a la messe, tu as aussi mauvais caractère après qu'avant? Moi,  je ne fais pas baptiser mes enfants, je ne crois pas  a cela? Nous chercerions sans doute des réponses pour éclairer et lui dire que.... 

Un témoin de Jésus Christ est aussi quelqu'un qui a le coeur ouvert au monde d'ajourd'hui, aux continuels changements,  Dans l'Eucharistie, je trouve la lumnère et la force pour témoigner aujourd'hui dans notre monde d'un Christ vivant et au coeur de nos vies. 

Demain la liturgie nous fera célébrer la fête communément appelée Fâte du Sacré-Coeur de Jésus. comme québécois, nous sommes beaucoup centrés sur les dévotions et cette fête en est une. la dévotion au coeur de Jésus.

Fêter le Sacré-coeur, c'est reconnaitre la profondeur d el'amour du christ pour chacun et chacune de nous. Chaque page de l'Évangile nous raconte la grandeur extraordinaire de l'amour de Jésus Christ pour l'humanité. Nous sommes le fruit de l'amour et l'objet continuel d el'amour du >christ à notre endroit. Notre premeir mouvement est un geste de reconnaissance et d'action de grâce à l'égard du Christ qui se donne continuellement pour nous acocmpagner. Il nous a montér la fidélité à lui-même en acceptant la mort plutôt que de se renier pour plaire aux autorités de son temps. il se donne à nous chaque jour par une présence  spirituelle d'accompagnement et il se donne d'une façon sacramentelle dans l'Eucharistie comme une force pour nous aider à bien vivre notre vie de fille et de fils de Dieu.

Ainsi fêter le Sacré-coeur n'estpas un acte de dévotion mais une vie de communion dans l'amour aavec la source mêm de notre amour. L'amour de Dieu est en nous comme nous sommes en lui.